C'est grand...Et peuplé! [Libre] - (Il semble que je sois la première à poster, mais on va me répondre? XD)

Alesia marchait sur la grande place, deux valises en main et l'air perplexe. Elle ne connaissait de cette ville que son nom. Elle marchait et s'arrêtait parfois devant des maisons qu'elle trouvait jolies, ou des magasins où elle aimerait entrer. Bien sûr, elle évitait les vitrines et le petit magasin à miroirs qu'elle avait vu sur sa route. S'arrêtant devant un magasin d'animaux, elle voulu entrer pour jaser un peu, aillant plus de facilité avec sa diction animale que celle humaine. Finalement, elle soupira et continua sa route en se disant qu'elle devrait peut-être trouver le bureau d'administration de la ville, ou la mairie, pour avoir un peu de renseignements. Ce qui était difficile, c'était de retrouver son chemin et de savoir gérer le peu d'argent qu'on lui avait donner jusqu'à ce qu'elle se trouve un travail à Cross Season. Elle ne se sentait pas à l'aise lorsqu'elle passait devant quelqu'un, mais restait toujours étonnée par ces personnes qui ne lui jetaient même pas un regard, comme si elle était totalement normale. Trouvant soudainement que ses valises pesaient lourdes, elle trouva un banc libre et alla s'y asseoir en admirant le soleil levé depuis deux heures et pourtant si doux et rayonnant... Aucun nuages ne semblaient vouloir se battre avec la lumière du soleil, et le temps frais semblait être une douce mélodie inaudible aux humains comme aux Canelians. Elle se laissa bercée par ce temps merveilleux en fermant doucement les yeux. Rien ne semblait plus important que de se détendre, maintenant. Même si elle avait l'impression qu'on la regardait, elle garda ses yeux clos et sourit legèrement.

[C'est court, mais j'ai pas d'inspiration vu que je viens de me réveillé XD]

La journée était en effet très belle, pas un nuage dans le ciel bleu, tous l'avez vu, il n'y as qu'un aveugle pour ne pas le voir, et bien c'était le cas, kenzo était aveugle et ne voyait pas si il y avait un nuage dans le ciel et franchement il s'en fiché éperdument, tous ce qui compter pour lui c'est qu'il ne pleuve pas, il était toujours à la recherche d'un boulot et d'un logement, son handicape commençait à lui coûter cher, d'autant qu'il était obligé de créer de la terre sous ses pied pour ne pas rentrer dans une personne, bref c'était la galère.

Cela faisait deux heures qu'il tournait dans la ville pour un boulot, avec ses affaires sur le dos, arriver devant un obstacle qui était à la forme un banc, s'assit pour se reposait quelques minutes pour ensuite repartir à la recherche d'un boulot, il se détendis en s'étirant un petit peu, il ferma les yeux bien que se ne changea rien pour lui s'était un reflex qu'il avait gardé avant d'être aveugle.

Il n'avait se pendant pas remarquer bien que son ouïe était un peu plus développée à cause de son handicape, que se banc était occupé par quelqu'un...

Alesia, les yeux clos elle aussi, n'avait même pas remarqué le garçon, malgré son ouïe très développé. Elle voulut cependant mettre ses pieds sur le banc et heurta de plein fouet le torse de quelqu'un. Rouge comme une tomate, affreusement désolé, elle ouvrit les yeux et ne put s'empêcher d'éclater de rire à cause de la gaffe qu'elle avait fait. Elle n'était pas vraiment gênée, mais était affreusement désolé car elle n'avait pas fait attention.

-Eczuse-mei, pouffa-t-elle. Je né sovois mâme pes qu'il y evait quexlqu'un à côtà de mei... Désolé!

Elle se remit à rire à grands élans mais cessa son jeu en se disant qu'il ne devait pas la trouver drôle, lui. Elle s'était assez améliorer dans son langage, mais avait parfois de la misère à le montrer, surtout quand elle riait comme ça. Elle se demanda s'il avait un don, lui aussi, et lui poserait probablement la question lorsque le sujet de le heurtage de pieds-sur-torse serait clos. Elle était encore un peu rouge mais ne voulait pas qu'il le voit, alors elle tourna la tête vers le ciel pour éviter qu'il ne la regarde. Ce n'était pas par gêne, ou pas beaucoup, en tout cas. En fait, elle savait tellement que le rouge ne lui va pas bien qu'elle refusait de laisser voir ça. La question, chez elle, n'était plus "est-ce qu'il va me comprendre, me narguer?", mais bien "J'ai bien dis, au moins?". Elle s'en foutait complètement de son langage et avait apprise à vivre avec alors elle était bien.

Il était en train de se reposer quand deux pieds le touchèrent au niveau du torse, mais comme il était aveugle, il crut que s'était un objet qui l'avait heurté et comme il était un peu paranoïaque sur les bords, il crut que c'était un projectile qui lui était destiné.
Son premier réflexe allait de se levé et d'insulter la personne concerné pour ensuite le botté le cul, mais une voix à coté de s'excusa et se mit à rire pour ensuite se taire.
c'était la première fois que quelqu'un parler de la sorte, peut être était elle handicapé comme lui où étrangère? En tous cas il fut surpris de sa réaction première et il se mit à rire.

-C'est à moi plutôt de m'excuser, je n'avais pas vu qu'une demoiselle était sur se banc, cela mais très difficile en faite avec ma vue...

Mais pourquoi lui parlait il comme sa? il ne la connaissait pas, en plus il était persuadé qu'elle aurait peur en voyant la couleur de ses yeux, il savait qu'il n'était pas le seul dans se cas là mais il ne pouvait pas voir les autres, aucune comparaison possible pour lui.

-que... que m'avez vous lancé tout à l'heure?

Au moment où il lui se mit à rire à son tour et lui parla, elle comprit qu'il devait avoir un problème de vue. Elle se leva, se placa devant lui et le regarda dans les yeux. Elle fit des gestes pour voir s'il réagissait, mais ça ne semblait rien faire. En voyant clairement la couleure de ses yeux, elle tapa dans ses mains en s'extasiant de voir pour la première fois une personne aillant des yeux d'une couleur différente. En plus, ses yeux étaient différents!

-J'odore tas yeux! Sont soper! Meis tu es avouge, hen? Tan neim, c'ast quoy?

(Si tu ne comprends pas ses paroles, à un moment donné, dit-moi le et je vais faire une traduction en dessous XP)
Elle prit son visage, sans même le lui demander, et regarda de très près ses yeux. Elle n'était qu'à quelques millimètres de son visage, mais ça ne la gênait absolument pas. Elle posa ses doigts sur sa peau en tracant un trajets autour de ses yeux, amusée par leur forme et couleur étrangement belles.

-J'odore, vroment! cria-t-elle en reculant pour se rasseoir. J'mappole... Ittend, il fate que je prinonce ben mein neim. Al...Es...Ia ...Mar...W...Well... Alechia Marwel... Alesia... Marwell! Alesia Marwell! Enchonté!

Elle se rendit compte qu'étant aveugle, il n'avait probablement pas vu ses jambes écraser son torse, alors il croyait qu'elle lui avait lancé quelque chose.

-Mas pierde! Pied! Oua, pied! Je t'ao lanci mis pieds!

Trixiy marchait d'un pas rapide dans les rues, longeant le plus possible les murs pour éviter le soleil. Elle sortait que très rarement le jour, préférant la douce lumière de la lune que celle du soleil qui lui brulait la peau. Elle s'était recouverte d'une sorte de grande voile d'un rouge bordeau qui protégeait les parties de son corps que l'astre du jours pouvait éffleurer. Pourquoi la jeune demoiselle sortait ainsi en pleine journée ? Pour affaire. Elle était jeune mais argent elle avait, donc affaires elle devait. C'est pour cette raison qu'on la voyait passer dans l'ombre jusqu'à la place où tous les marchands se donnaient rendez-vous. Que ce soit légal ou pas. Et justement son affaire n'était pas très légale. La jeune fille ne connaissait pas cet endroit, ni les esprits morts il y a quelques siècles qui le hantait. Normalement Trixiy essayait de toujours savoir quel fantome pourrait l'aider à tel endroit mais c'était la première fois qu'elle mettait les pieds dans la place.
Elle avait mal aux jambes et il n'y avait qu'un seul banc que les rayons du soleil n'atteignaient pas. Il était malheureusement occupé. Elle s'y dirigea quand même et s'assit le plus loin possible des deux autres personnes qui l'occupaient. Une jeune fille et un jeune homme. Trixiy réfléchissa un moment sur les démarches qu'elle devra faire pour son affaire. Elle ne s'occupa pas le moins du monde des deux jeunes gens à ses côtés, trop plongée dans ses pensées.

Kenzo eu du mal a comprendre se qu'elle disait, de plus elle se mit à le toucher autour de ses yeux, n'avait elle pas peur ou avait elle envie de lui faire du mal, il sentait sa respiration juste sur son visage se qui voulait dire qu'elle était très prés.
Une sensation de mal à l'aise s'installa en lui, se qui activa son pouvoir, un réflexe d'auto défense, mais la fille lui dis qu'elle trouvait ses yeux vraiment beau, il contrôla son pouvoir.
Elle lui demandait si il était aveugle, sa ce voit pas! Puis il se ravisa de lui déballais une réponse aussi crut, il était toujours un peu tendu sur ce sujet, peur des moquerie à son égard. Ne la connaissant pas, il lui répondit doucement.

-Oui je suis aveugle, il ferma les paupières et tourna la tête, mon prénom est Kenzo.

Soudain il attendit quelqu'un s'asseoir à coté de lui, il tourna son regard dans la direction d'où venait le bruit, bien sur il ne vit rien, pur réflexe.
Ne sachant pas si c'était une fille ou un garçon est surtout son attention, il dit tout simplement.

-Bonjour!

Hungare, assis au coin d'une ruelle sombre rangeait son journal...
Cher journal...
Je n'en peus plus, je sens mes forces se vidé, je dois agir le plus vite possible, ou ces chiens m'aurons ! Mais je ne dois pas ! Je ne dois pas ! Pour papa...Pour tout les humains tués par ces esclaves, je ne dois pas ! J'ai repéré un petit magasin sur la grande place... Sa y'est, je passe a l'action...

Hungar se levat, vêtue de sa grande cape noir a capuche, la cape comportait des ornements dorées, il sortit de cette ruelle et se dirigeat vers la place, le pas déterminé... Il évitat de regardé les personnes qu'il croisait dans les yeux desfois qu'un de ces esclaves est le don de lire dans les pensé a travers les yeux...
Dans une rue, Hungar passat a coté de 3 personnes assisent sur un banc...2 femmes et 1 hommes...Un détail marquat le petit prince...Cet homme...Ses yeux...Quel couleur ! Vraiment étrange, pensat-il...Certainement aveugle... Mais l'homme semblait savoir ou se trouvait Hungare ... Ce détail perturbat Hungar ... Lui qui avait l'habitude de prendre des précautions, préférat faire des détours pour arrivé a son but...
Une boutique d'antiquité... C'était un vieil homme qui tenait les lieus...Hungar entrat dans la boutique et examina les lieux... Le pépé le fixa un long moment...Des bouquin était étalés sur les presentoirs...Hungar se tournat vers le vieil homme lorsqu'il vit une écriture sur le mur...

Gloire aux Carnelians, a mort les humains !

Non...Comment osent-ils ??...
Hungare ne put contenir la rage qui montait en lui...

-Que puis je faire pour toi jeune homme ?dit le vieillard..

Hungar lui adressat un regard noir...toute sa haine et sa colére...

- Je ... Je vais te crever sale esclaves !!

- Pardon ?

J'ai dit...

Hungar n'eut même pas le temp de finir sa phrase, que des lianes avait surgit du planché de la boutique...Pris de panique Hungare dégainnat Olympe, puis tiras 1 coup...1coup qui le fit reculé de plusieurs métres jusqua se qu'il percute une étagére...Quand il relevat la tete, il y avait 2 trous...Une dans le mur, et une autre dans le thorax du malheureux...Des badots commançaient déja a se rassemblait devant la porte...Hungar prit tout se qu'il y avait ddans la caisse avant de s'enfuire par la porte secondaire, Il réemprintat la " rue aux banc " en courant...

Layko avait eut l'autorisation de sortir par Akeno. Elle en profitait donc et sortit dans les rues. Comme d'habitude, ses pas se dirigérent vers la grand place. Elle aimait cet endroit. Sauf quand il était trop peuplé. Non, elle n'était pas Agoraphobe, mais entendre les pensées de tous ces gens la tourmentait un peu. De loin, elle aperçut un groupe de gens. Il n'y avait presque qu'eux? En tout cas, c'était eux les plus visibles sur la Grand place. Elle entreprit donc de s'approcher. Elle voulait se refaire des amis. Tout ce temps passé avec Akeno l'avait coupée du monde exterieur. Elle ne reconaissait personne. Mais où étaient donc passées ses mannequins d'amies ? Tuées par des humains ? Rien que d'y penser, elle avait des frissons dans le dos. Elle était souvent heureuse que personne ne puisse lire dans ses pensées à elle car ce genre de peur ne pouvaient pas filer dans l'esprit d'un humain. Elle chassa sa peur et se dirigea vers le groupe. En fouillant, sans trop le faire expres, les esprits de chacun, elle se rendit compte qu'ils ne se conaissaient pas vraiment et fesaient juste coniassance. Comme ce qu'elle s'apprêtait à faire en fait. Elle avait remarqué que le garçon était aveugle. Quand elle fut à hauteur du groupe, elle lança :

- Salut ! Je peux me joindre à vous ?

A peine eut elle finit de dire cette phrase, qu'un jeune humain passa dans la rue en courant. Elle savait qu'il était humain car elle l'avait sentit dans ses pensées. Elle sentait aussi qu'il était horrifié. Elle contrôla son don pour voir plus en profondeur la cause. Elle vit une pancarte, un fusil, un vieux, la faim, la pauvreté, un mort, des badaux. Elle ne parvint pas à la déduction que c'était le jeune homme qui avait tué. Elle soupira : décidement son frére avait raison quand il disait que le monde extérieur était dangereux. Les pensées du jeune homme étaient omnis présentes dans sa tête. Elle ne pouvait pas ne rien faire. Elle se retourna vers ceux qu'elle venait d'acoster et dit :

- Vous avez vu ? Il est desepéré...ça vous dirait de l'aider ?

Elle leur avait parlé comme s'ils se conaissaient et elle eut peur qu'il lui en veuillent. Attendre une réponse n'aurait servit qu'à perdre le coureur de vue. Alors, elle le hélà :

- Hey ! Vient !

Elle accompagna son cris d'un geste l'invitant à venir. Il ne pouvait pas vraiment refuser. Enfin, il fesait ce qu'il voulait mais se meler à un groupe de jeune était une cachette comme une autre. Leiko attendit donc que tous ses actes lui retombent dessus. Elle se demandait comment allaient réagir les gens qu'elle avaient accostés subitement et si le jeune homme allait les rejoindre. Si les gens la niait et qu'il ne venait pas, elle aurait l'air vraiment bête. Elle pria donc secretement pour que tout se passe bien.

Kenzo attendait une réponse de la fille assise à coté d'eux, en plus, Alesia continué toujours de passer son doigt autour de ses yeux, cela le mettait un peu mal à l'aise, il ne comprenait pas si elle se moquer de son handicap où si elle avait vraiment de la sympathie pour lui.
c'est alors qui voix douce et féminine se fit attendre. Toujours par pur instinct, il tourna la tête pour regarder dans la direction d'où émanait le bruit, il ne savait pas quoi répondre, tous ce monde autour de lui commençait a le mettre mal à l'aise.
Alors quand elle leurs demanda si ils avaient vu quelqu'un, il se posa quelques questions sur elle, il avait une furieuse envie de lui répondre "hey espèce de cruche, je suis aveugle" mais enfin de compte il mit ceci sur le coup qu'il ne se connaissait pas encore et qu'elle n'a pas du voir qu'il était aveugle mais bon, passons.
Avant qu'il ne put prononcer la moindre parole, la nouvelle voix se mit à appelé quelqu'un d'autre sûrement la personne désespérée, et voilà encore une nouvelle personne dans le groupe, il avait l'impression que tout ceci allait mal finir, sans faire le moindre mouvement, il commença a créer un peu de terre juste derrière le banc pour que personne ne la voit, juste par mesure de précaution.

-Je ne savait pas que s'était un banc spéciale rencontre, sinon je serait aller m'asseoir ailleurs... dit il a voix basse

J'ai peur...Tellement peur...On doit me prendre pour un monstre... Pourquoi j'ai fais ça...Mais non ! C'est eux les monstres ! Je dois me ressaisir ! Il le mérité ! Je dois rétablir l'ordre, remettre les humains en haut de la hierarchie !
Mon coeur palpite...J'ai des tremblement...Je suis nerveux...Papa m'avais déja raconté l'effet que sa fait de tué... Mais je ne savais pas que c'était si bizzard... A present il faut que je me cache... Ils doivent me recherché, ils doivent me haïr... Mais ils n'éprouveront jamais une aussi grande haine que moi a leur égard ! Bon sang, il ont tué ma famille !
Les yeux du jeune Hungar perlait de larmes, qui brillaient a la lumiére du soleil avant de s'enfoncer dans le sol de terre du chemin... Il était vraiment boulversé, chamboulé, perdu... Comme toujours d'ailleurs... Mais personne ne l'avait jamais remarqué... Personne ne l'avait jamais aidé... Cette tristesse était une bombe, une bombe atomique caché dans un coeur d'adolescent instable...
Hungar courrat de plus en plus vite en voyant qu'il allait passait devant les gens... Au passage il remarquat une nouvelle femme... Ouah.... Qu'elle beauté... Il avait envie de s'arreté et de lui dire a qu'elle point il la trouvé belle et voudrait bien l'emmené au cinéma ou a la patinoire... Mais elle était certainement des leur... Il continuat donc sa route, a toute allure, lorsqu'il entendit une voix qui lui dis d'attendre... Attendre... Pourquoi ? Me tué ?...Olympe me protégera...
Hungar s'arreta au milieu de cette rue... il se recouvrit précausionesement de sa cape, faisant bien attention a masqué son visage... Il plaçat sa main sur Olympe et ne bougeat plus...

[ Désolé c'est un peu court :s ]

Leiko sourit en entendant les sentiments de haines que l'aveugle éprouvait pour elle. Ca fesait longtemps qu'elle n'avait plus entendu d'autres pensées que celles d'Akeno. Le jeune homme qu'elle avait interpelé c'était arrêté au milieu de la rue. Elle se demandait si elle oserait s'approcher de lui. mais quand elle entendit qu'il al trouvait belle, ça lui rendit son courage. Avant de partir elle regarda l'aveugle et dit :

- Oh, monsieur est solitaire ?

On pouvait entendre un sourire dans sa voix. l'aveugle ne devait donc pas le prendre mal. En fait, elle tenait juste à lui dire qu'elle entendait ses pensées. Aprés un autre sourire amusé, qu'il ne pouvait pas voir, elle se tourna vers l'humain. Il avait trés peur aparemment. Elle s'approcha donc lentement. Quand elle entendit qu'il avait peur qu'elle le tue, elle leva les mains en l'air et cria :

- Je vien en paix !

Elle sourit et se mordit les lévres pour ne pas éclater de rire. Une fois prés de lui, elle reprit son sérieux et se présenta :

- Je m'apelle Leiko.

Ensuite, probléme : comment aborder le sujet de sa peur sans lui révéler qu'elle savait lire dans les pensées ? Elle décida de lui faire croire que c'était à cause de son comportement :

- Tu avais l'air affolé...ça va ?

Elle attendit sa réponse en espérant que le mensonge passerait.

Hungar se sentait bien...Comme un de ces baroudeurs du desert...L'ame paisible, le visage tranquil passé par toute ces années dans l'illégalité...Il poussat une grande inspiration pour savourer cette air pur qui lui rafraichissait les poumons...Il fermat les yeux un instant puis entendi la femme parlé avec le monsieur...Cette femme...elle n'était pas seulement belle...Elle avait une sacrée voix...Hungar l'immaginat toute nue...Quelle spectacle...L'homme assis sur le banc intrigait hungar...Il n'avait pas dis un mot, ou si peu, que Hungar n'avait rien entendu...Le petit prince passa sa main dans ses cheveux gris, puis tourna légerment la tête, juste assez pour pouvoir adresser un regard en coin au jeune homme, et encore assez pour pouvoir distinguer la silhouette de la jeune femme...Cet homme, il n'était pas normal...Ah...Mais j'oubli...Ce n'est pas un homme puisque c'est un chien ! Hungar ne pus contenir les sentiments de haine et de terreur qui ressurgir en lui comme un torren...Il entendit la femme lui parler...

-Qu'est ce qui faut pas entendre..."Je viens en paix"...Non mais tu me prend vraiment pour un môme ? Ecoutez moi bien ! Vous vous prenez pour des apprenti héro avec vos pouvoirs bidons ! Mais vous n'êtes rien ! Je considére comme "rien" tout être qui ne prend du poid que lorsqu'il t'écrase !
Mais je dois admettre que vous avez fait fort...Réussir avec une révolution bidon, a prendre le pouvoir et a anhilé la race supérieur... Mais dites moi une chose ? Pourquoi faites vous sa ? Pourquoi massacrer vous vos créateurs ? Pourquoi tuez vous des innocents ? Pourquoi ?...Répond...
Pourquoi ?!

Le petit prince sentait sa respiration s'accelerait au rythme d'un faucon découvrant sa proie au loin... Les souvenirs se mélangeait dans sa tête...Les bons moments passé avec sa famille...S'est amis...Comme les mauvais...La perte de tout se qu'il chérissait...Sa vie... Ses poings se serrant de plus en plus fort jusqu'a provoquait une coulée de sang, vinrent s'entrechoquait...Une réaction stupide... mais il ne pouvait contenir tant se rage...

Leiko avait entendu les pensée de l'homme qui la voyait nue. Elle rougit assez fort mais se concentra : ce genre de chose passait dans l'esprit de tous les hommes. Puis, il parla. D'abord, Leiko avait continué de sourire. Mais ça n'avait pas duré. Petit à petit, elle se mit à vouloir la présence de son frére pour la proterger et celà de plus en plus fort. L'homme n'avait pas répondut à sa question mais elle s'en foutait à présent. pourquoi être gentille avec un être comme celui-là. Elle garda le silence et les lévres pincées pendant un instant. Puis, s'imaginait tout ce qu'il avait dû vivre, elle souffla un bon coup et récupéra un semblant de sourire. D'abord, d'une voix séche, elle dit :

- Si je ne suis rien : tu n'es pas grand chose non-plus. Tu serait même moins que moi vu que tu n'as pas de pouvoirs.

Elle n'avait pas digéré le fait qu'elle n'était "rien". On l'avait déjà beaucoup insulté mais ça, ça lui fesait plus mal que n'importe quoi. Oubliant qu'elle devait cahcer son pouvoir, elle adouçit sa voix et continua :

- Je n'y suis pour rien la dedans. Mais des amis tu peux t'en refaire.

Elle laissa encore un temps pendant lequel, elle baissa la tête. Elle n'aurait peut-être pas dû dire ça.

- Pour ta famille, je ne peux rien.

Elle compatissait vraiment. Ensuite, elle entreprit de fouiller l'ésprit de l'homme pour savoir où il vivait. La haine le dominait tellement qu'elle ne trouva rien. Elle dû donc proseder à l'ancienne :

- Tu n'as plus de toit ?

Elle se mordit les lévres pour montrer qu'elle ne disait pas ça pour se moquer de lui. En fait, elle se demandait si elle pouvait l'aider. Elle repensa à ce qu'elle avait vu dans la tête de l'homme : que des souvenirs et de la haine. Elle aussi avait son lots de souvenirs tristes mais elle n'avait pas de haine. Même pas en vers Buntaro. Elle se demanda comment la situation allait tourner et si elle aurait besoin de la protection de son frére. Elle éspérait que ce ne fut pas le cas sinon Akeno ne la laisserait plus jamais sortir sans lui.

Kenzo rit intérieurment quand il entendit la réfléxion de la fille en face de lui, c'est vrai qu'il n'avait pas était sympa sur ces propos. En faite, il n'avait pas du tout l'habitude d'être en si nombreuse compagnie, il laissa donc la remarque sans réponse, donnant ainsi la satisfaction à la fille, pour en quelque sorte se faire pardonner pour son manque de tacte.

Puis il entendit le jeune homme parler.
Un humain! içi, qu'elle drole d'endroit pour se réfugié, en faite pas tellement, qui chercherais un humain la où t'ou ce qui veulent le tuer habite, pratiquement personne!
Il n'avait pas à faire de commentaire sur son hsitoire ni sur ces intentions car il ne connaissait pas d'humains et ne voulait pas croire les histoires sur eux, il voulait lles voir de ses propores yeux, enfin façon de parler.

Des bruits de foule hystérique se raprochére d'eux, aux bruits, elle devait être a une ou deux rues d'eux, il sourit légérement.

-C'est a toi de voir humain, soit tu vie soit tu meurt, mais les morts ne vengent jamais personne.

A se moment la un petit monticule de terre sortit du sol, celui ci était ouvert sur le haut et creux à l'intérieur de sorte qu'un humanoïde puisse rentré en se recroquevillant.

» Une promenade à l'air "pur" [libre]