Une promenade à l'air "pur" [libre]

Retor, après été légèrement attaque lui et sa maîtresse, avait erré quelques jours, hésitant entre attendre un ordre potentiel ou avancer pour sa survie.
Il faut dire qu'il avait été tellement bien drillé que prendre une décision seul était quasi impensable. Pourtant, malgré son formatage psychologique, il fini par se décider.

*Il me faut choisir. Je ne peux rester éternellement ici, tous ces cadavres à mes pieds. Si je reste, la peste ou une autre de ses consoeurs me prendra. Mais puis-je me permettre de bouger sans un ordre. Peu probable. Je n'ai pourtant pas réagi au dernier ordre de ma maîtresse. Le prendrai-je alors en compensation?
Oui, je pense pouvoir faire cela. Il me faut donc rejoindre un point habité pour me nourrir*

Il se mit donc en marche. Traversant le temps et les zones quasi désertées par la vie après la bataille opposant Carnélians et humains. Bataille qui durait d'ailleurs toujours puisqu'elle avait ravi la vie à sa maîtresse.
Ainsi, le Akai Retor parcouru une bonne trentaine de kilomètres avant d'arriver aux environs de ce qui semblait une ville

*Instinct de survie satisfait. Reprogrammation : recherche d'un maître à servir après avoir remis en état toutes les focntions vitales par un repas.*

Quand il était un peu fatigué, il devenait mécanique comme un robot, encore plusque lorsque sa conscience, aussi faible soit-elle, était présente.
Il s'avança, sans craitne aucune vers ce qui lui semblait un lieu d'habitat. Mais quand il y arriva, seules des ruines et la désolation l'attendaient. Enfin, elles n'étaient seules car une atmoshpère étrange imprégnait les lieux, irritant juste une rien le système respiratoires de Retor.

*Il ne va pas être évident de trouver substance nourricière ici. Et trouver un maître, une maîtresse, encore moins. Mais étant ici, cherchons*

Et il commença à chercher.

Une promenade à l'air "pur" [libre] Int-buntarofujita

Buntaro avait froid. Il grelottait. Mais, non ! Il ne grelotait pas ! Un homme comme lui ne pouvait se le permettre ! Il était fort ! Plus que tout ceux dehors ! Cette persuation lui était familiére. Mécaniquement, il attrapa une seringue à côté de lui et se la planta dans le bras. Directement, il se sentit mieux. Il était dans une ruine pour l'instant : dernier refuge qu'il avait trouvé. La drogue commençait à manquer. Mais il n'y pensait pas, pas encore. Il lui restait deux seringues et il était bien. Il leva son bras et l'inspecta. Il y avait beaucoup, beaucoup de petits trous. Il savait bien ce que celà représentait : des piqures. Tout à coup, un "gamin" entra. Enfin, c'est ce qu'il lui sembla. Grâce à sa faible perseption des sentiments, il sentit qu'il avait faim. Buntaro se releva difficilement en s'apuyant sur des pants de mur puis vint se planter devant ce qui était en fait un jeune homme. Il haussa les épaules : il n'aimait pas se tromper. De sa poche, il sortit un bout de baguette. Il la tendit sans ménagement à l'inconnu. D'un ton désinteressé et pas trés aimable, il dit :

- Tien, bouffe.

Il attendit un instant que l'inconnu s'execute. Ensuite, toujours d'un ton bourru et peu aimable, se présenta :

- Moi c'est Buntaro. Qu'est-ce que tu fiche ici ?

Buntaro ne comprenait pas pourquoi il était là. Il n'avait pas l'air d'un délinquant et encore moins d'un enfant de la rue. Mais à bien y réfléchire, lui non plus n'était rien de celà. Il était juste...lâche. Ne voulant repenser à Leiko et Akeno, il se mordit la lévre. Il n'était aparement pas encore assez sous l'influence de la drogue. Il soupira bruyemment. Une longue trainée de fumée blanche sortit de sa bouche. En un instant, il se rapella qu'il avait froid. Decidement, la drogue commeçait vraiment à manquer. Le pire était que son dealer habituel était injoignable. Il eut un geste bref de la tête et chassa toutes ces pensées pour vriller son regard sur l'inconnu. C'est dans une pose non chalante et presque grelotante qu'il attendit une réponse. Son air était presque impertinent mais personne ne lui avait jamais demander d'en changer. Il était comme ça de toute façon.

Alors qu'il errait maintenant dans les ruines, une âme vivante se présenta à lui. A son air, il ressemblait à un voyous des bas-quartiers d'une ville d'antan. Quoi que, ses pupilles étaient un peu trop dilatées pour un voyou, plus un drogué un peu en manque.
Toujours est-il qu'il s'adressa à Retor dès que celui-ci passa près de lui. N'ayant senti aucune menace, le jeune Borst n'avait réagit. Et à juste titre car l'autre lui tendait maintenant un morceau de baguette, lui disant de manger.

*Cet étranger m'a donné un ordre, et je ne suis en rien contre celui-ci. De plus il répond au code de base, je vais donc m'exécuter.*

Plutôt que de penser à la faim qui le taraudait, Retor pensait plus à se montrer obéissant envers Buntaro et respectueux des règles qui régissaient sa vie. Il prit donc la baguette, mangeant le pain doucement, savourant chaque bouchée. Avoir été formaté en bon petit soldat obéissant ne le privait pas des sensations. Et celle de la nourriture après quelques jours de jeune était quasi une extase.
Quand le jeune homme se présenta, lui demandant également de décliner son identité, Retor vu un peu gêné. Son ancienne maîtresse ne lui demandait que peu de s'exprimer, il n'avait donc que rarement de quoi écrire sur lui.

*Me voilà ennuyé. Comment faire pour lui répondre qui je suis, je n'ai de quoi lui communiquer mon nom. Quoi que, ce mur de béton devrait faire l'affaire.*

Alors que Buntaro le regardait dans un pose un rien impertinente en grelottant, le jeune Carnelian lui fit signe de s'approcher du mur. Il se concentra et durcit son épiderme au niveau de son index gauche. Il l'enfonça alors dans le béton comme s'il s'agissait d'une terre meuble et y grava son nom. Cela fait, il se retourna vers son interlocuteur, attendant un nouvel ordre de ce dernier.
Après tout, il avait commencé par se comporter comme un maître, c'était donc qu'il en était un. Retor attendait, c'était de toute façon ce que le code lui prescrivait de faire en absence de données supplémentaires pour réaliser une action.

Buntaro fut surprit que l'inconnu lui demande de se diriger vers le mur. Il s'approcha donc et assista à un spectacle étrange. Le jeune inconnu, durcit une partie de son doigt et écrivit sur le mur. Buntaro comprit qu'il ne savait pas parler. Le phénoméne l'inquiétait quand même : il avait l'habitude d'être plus fort physiquement que l'adversaire mais celui-ci pourrait se reveler dangereux. Ne pas s'en faire un adversaire donc. De toute façon, Buntaro n'avait pas de raison de lui en vouloir. Il déchiffra le nom de l'inconnu. En fin, ce n'en était plus un à présent. Le fait qu'il ne savait pas parler était assez embêtant. Lui qui s'ennuyait ferme ne pourrait donc pas discuter avec Retor. Buntaro acquiessa pour montrer qu'il avait pigé. Ensuite, il se détourna et alla chercher une seringue. A ce rithme, il ne tiendrait pas longtemps. Il lui faudrait donc sortir un jour ou l'autre. Mais il ne voulait pas car la derniére fois qu'il étazit sortit, des humains arpentaient les rues. Lui qui n'avait pas d'arme préférait les eviter. Surtout qu'il était toujours dans un état un peu "planeux". Il chercha une veine. Celles du bras gauche étaient toutes trouées. Il eut une petite moue puis changea sa seringue de main. Il trouva une zone "non-utilisée" sur le bras droit et planta l'aiguille. Ensuite, il la balanca par la fenêtre et se tourna vers Retor. Histoire de savoir s'il était dangereux ou non de sortir, il demanda :

- Ya des sales humains de là ou tu vien ?

C'était une question à laquelle il devait savoir répondre car il lui suffisait d'ocher la tête positivement ou negativement. Puis, une vague d'inquietude finit par l'atteindre. Et si Retor était un humain ? Non, les humains n'avaient pas de pouvoirs. Mais, et s'il était dans leur camps ? Buntaro plissa les yeux et demanda avec une pointe d'agressivité dans la voix :

- T'es pas des leurs quand même ! ?

S'il avait aidé un allié des humains, il s'en voudrait toute sa vie. Sauf s'il était allié contre son gré au quel cas il se serait échapé et se serait une bonne chose. Buntaro souffla. Il en avait marre de réfélchir. Qu'est-ce qui lui prenait à la fin ? Pourquoi sa journée n'était elle pas normale ? Pourquoi n'était il pas affalé dans un coin de la "piece" ? Peut-être commençait il doucement à changer. Peut-être n'était il plus une larve. M'ouai, Peut-être. En attendant sa réponse, il se forçat à réfléchir à quelle position adopter si Retor était "méchant". Sans succés.

Le maître potentiel nommé Buntaro ne semblait pas se rendre compte de son statut envers Retor. Ou bien il ne voulait en profiter, ce qui étonnait quand même le Carnélian obéissant : un maître qui n'usait pas de son statut, ça n'existait pas.
Buntaro arrivait à perturber Retor dans son raisonnement simplifié par des gestes et des actions contradictoires.
L'observant, l'ancien soldat des humains fut étonné du comportment de son sauveur. En effet, celui-ci venait de prendre une seringue et, après un moment d'hésitation se la planta dans le bras.

*Une injection? Peut-être est-il souffrant, ce qui expliquerait son manque de comportement dominant. A moins qu'il ne soit atteint d'une maladie.
Toujours est-il qu'il n'a pas donné d'ordre, donc, je ne bouge pas.

Et de fait, il attendait face au mur sur lequel il avait gravé son nom, droit comme un piquet.
La seringue par la fenêtre s'étant énvolée, Buntaro se retourna et questionna Retor. Deux questions sortirent, sur deux tons, mais toutes deux perturbant notre jeune Borst

*Des sales humains? De quoi veut-il parler? Mes maîtres étaient des exemples de propreté. Et être des leurs, il voit bien que je suis un esclave, donc pas un humain. Il doit certainement se droguer et il délire. Mais bon, il a posé des questions, je me dois d'y répondre.

Il tourna plusieurs fois la tête avant de trouver ce qu'il cherchait : un parpaing déjà abimé et trônant dans un coin sombre du lieu.
Il s'en approcha, durcit ses mains et broya le parpaing en poudre qu'il amena à la lumière de la fenêtre. Il y étendit la poussière de béton et de son doigt y traça sa réponse je ne comprends pas le sens de ces 2 questions. Je suis un Carnelian, pas un humain.
Que pouvait-il "dire" de plus. Son esprit n'arrivait à percevoir le sens des questions de Buntaro.
Retor se redressa et regarda son interlocuteur, attendant à nouveau une action, un geste, un ordre de sa part.

Buntaro le regarda agir de la même façon qu'avec le mur. Enfin presque car cette fois, il avait écrit dans de la poussiére. Mais sa force restait extra ordinaire. Ensuite, Buntaro lut la réponse. Il fit un genre de petite grimace. Il n'était pas plus avancé qu'il avait dix minutes. Une autre chose l'intriguait : Retor ne bougeait qu'àprés qu'il le lui aie demander. Ca vait commencer avec le pain. Ensuite pendant qu'il ne disait rien, retor restait planté debout comme...comme... il ne trouva pas de mots pour décrire celà. Il n'avait jamais vu pareil comportement. Il chercha quelque chose pour verifier son raisonement. Comme Buntaro n'était pas quelqu'un de trés sérieux, il leva la main et dit, un sourire aux lévres :

- Tope là !

Il s'immaginait déjà Retor en train de se demander s'il était fou, si ce n'était pa déjà le cas, et ça le fit sourire un peu plus. Fou, il l'était peut-être. Il se pensait né pour déconner, né pour rire. Pour ce qui était de déconner, il avait bien reussit mais rire....ça ne lui arrivait plus trop ces derniers temps. Peut-être venait il de se faire un ami. Ou selement une compagnie, ce qui était déjà ça. Il attendit donc tranquilement, la main en l'air et un sourire enguageant sur les lévres. En même temps, il se demandait si Retor comprendrait l'ordre. Mais il se dit qu'il ne devait pas le juger comme un crétin juste aprés quelques minutes. Peut-être qu'il était simplement completement crevé.

Contre toute attente de Retor, Buntaro leva une main en lui disant "Tope là !". Il ne savait comment réagir à cette ordre nouveau pour lui, et surtout incongru car le forçant à frapper un maître. Jamais il n'avait vu pareil comportent, sauf peut-être...

*J'ai déjà vu ce geste quelque part. C'est une invitation de confiance, de bonne entente, de joie. Je me rappelle que des pères faisaient la même chose quand leur fils ou leur fille gagnait un combat ou une épreuve. Borst le faisait souvent avec Zetham quand je gagnais. Serais-ce donc pour se rassurer que je ne représente aucun danger pour lui? Incompréhensible, mais un ordre tout de même*

Finalement décidé à obéir, Retor frappa doucement de sa paume celle que lui tendait Buntaro. San ttrop forcer pour éviter de lui arracher le bras tout de même. Cela fait, il le regarda à nouveau, attendant une quelconque réaction de sa part.
En ce temps, des bruits pouvaient se faire entendre dehors. Mais comme il ne recevait d'ordre, il n'alla pas voir, ne pensant pas que son "maître" n'avait pas nécessairement développé son ouîe de façon exacerbée comme la sienne.

[hrp : désolé, de plus en plus court ^^"]

Pour la plus grand joie de Buntaro, Retor s'éxecuta. Buntaro sourit. Mais au bout d'un moment, il commença à entendre les bruits. Malheureusement, la personne ou l'annimal était trop loin pour que Buntaro puisse analyser ses sentiments. Il eut donc une grimace. Ensuite, même s'il avait eu démonstration, il fit signe à retor de na pas bouger. c'était plus un reste de ce qu'il aurait fait avec Leiko qu'autre chose d'ailleurs. Comme un sale trouillard, il regarda discrétement par la fenêtre. C'était une fenêtre de trois fois la taille de n'importe qu'elle autre car elle était complétement entaillée. De l'autre côté il découvrit toute une escadrie d'humains. Aparement ils fesaient une ronde. Buntaro reçut une violente vague de haine. Il n'avait jamais ressentit une émotion aussi fortement.

*Shiiit !*

Il s'attendait à ce que Akeno prenne les commandes de la fuite. mais évidemment c'était impossible. Il se rendit compte avec haine à quel point il était dépendant de son frére. Il serra les dents et se dit qu'il allait bien se débrouiller. Quand il se retrourna, il regarda retor. A deux, ils devaient sûrement y arriver. Mais où fuire ? Cette fois, il fit signe à retor de le suivre. Il y avait une autre fenêtre de l'autre côté. Il sauta et passa à travers. Il y avait des humains tout prés mais étant dénués de tout pouvoirs, ils ne les voyaient pas. Ou du moins pas encore. D'une voix empressée, il dit à Retor :

- Si tu sais où on peux aller, on y va !

Restant sur ses gardes, il attendit une réaction. Pendanr cette attente, il essayait de voir comment il pourait réagir. Puis, il pensa qu'il avait oublier sa derniére seringue dans la ruine. Decidement, c'était agité aujourd'hui. Il ne pouvait pas retourner dans la ruine, sinon il serait vite coincé, les humains approchaient.

[ T'inquiéte Wink

]

» C'est grand...Et peuplé! [Libre] - (Il semble que je sois la première à poster, mais on va me répondre? XD)